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Dans un monde où les figures héroïques sont encore largement dominées par des représentations masculines, cette série photographique met en lumière des héroïnes du quotidien, ces femmes qui se battent sans relâche pour trouver leur place dans une société qui, trop souvent, ne leur accorde pas la reconnaissance qu'elles méritent.
Ma sœur et ma compagne en sont l’incarnation parfaite. À travers leurs parcours, elles illustrent les luttes ordinaires, mais fondamentales, de nombreuses femmes : celle de se faire entendre dans le monde professionnel, celle de jongler entre responsabilités et aspirations personnelles, celle de devoir toujours prouver plus pour obtenir la même reconnaissance que leurs homologues masculins.
Des inégalités persistantes
Alors que les femmes représentent près de 50 % de la population mondiale, elles n’apparaissent en moyenne que dans 24 % des articles et reportages des médias traditionnels. Dans les films, seulement 31 % des protagonistes sont des femmes, souvent reléguées à des rôles secondaires ou définies par leur relation aux hommes (Étude du Geena Davis Institute).
Un plafond de verre toujours bien réel
En 2023, seuls 10 % des PDG des entreprises du Fortune 500 étaient des femmes, un chiffre en progression, mais encore dérisoire face aux défis structurels qu’elles rencontrent dans leur ascension professionnelle. Dans le domaine artistique, elles représentent seulement 11 % des œuvres exposées dans les musées de renom (National Museum of Women in the Arts).
Le masque comme un symbole
Dans cette série photographique, je mets en scène ma sœur et ma compagne, deux femmes engagées qui luttent au quotidien pour exister dans un monde encore marqué par les inégalités de genre. Le masque devient un symbole puissant : il représente ces identités multiples qu'elles doivent adopter pour s’adapter aux exigences de la société. Il questionne aussi leur visibilité, à la fois omniprésente dans les sphères domestiques et invisibilisée dans l’espace public et professionnel.
L'association des fleurs et du masque évoque la dualité entre fragilité et puissance, douceur et résistance. Derrière chaque femme masquée se cache une histoire, une lutte, une victoire.
Dans un monde où les figures héroïques sont encore largement dominées par des représentations masculines, cette série photographique met en lumière des héroïnes du quotidien, ces femmes qui se battent sans relâche pour trouver leur place dans une société qui, trop souvent, ne leur accorde pas la reconnaissance qu'elles méritent.
Ma sœur et ma compagne en sont l’incarnation parfaite. À travers leurs parcours, elles illustrent les luttes ordinaires, mais fondamentales, de nombreuses femmes : celle de se faire entendre dans le monde professionnel, celle de jongler entre responsabilités et aspirations personnelles, celle de devoir toujours prouver plus pour obtenir la même reconnaissance que leurs homologues masculins.
Des inégalités persistantes
Alors que les femmes représentent près de 50 % de la population mondiale, elles n’apparaissent en moyenne que dans 24 % des articles et reportages des médias traditionnels. Dans les films, seulement 31 % des protagonistes sont des femmes, souvent reléguées à des rôles secondaires ou définies par leur relation aux hommes (Étude du Geena Davis Institute).
Un plafond de verre toujours bien réel
En 2023, seuls 10 % des PDG des entreprises du Fortune 500 étaient des femmes, un chiffre en progression, mais encore dérisoire face aux défis structurels qu’elles rencontrent dans leur ascension professionnelle. Dans le domaine artistique, elles représentent seulement 11 % des œuvres exposées dans les musées de renom (National Museum of Women in the Arts).
Le masque comme un symbole
Dans cette série photographique, je mets en scène ma sœur et ma compagne, deux femmes engagées qui luttent au quotidien pour exister dans un monde encore marqué par les inégalités de genre. Le masque devient un symbole puissant : il représente ces identités multiples qu'elles doivent adopter pour s’adapter aux exigences de la société. Il questionne aussi leur visibilité, à la fois omniprésente dans les sphères domestiques et invisibilisée dans l’espace public et professionnel.
L'association des fleurs et du masque évoque la dualité entre fragilité et puissance, douceur et résistance. Derrière chaque femme masquée se cache une histoire, une lutte, une victoire.
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