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Jerome Coton

4 Rue Tandou
Paris, IDF, 75019
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Nos Mémoires Insulaires

Dans cette série, le paysage devient un terrain d’expérimentation, une toile vierge sur laquelle se dessinent les traces invisibles du passé et du présent. L’Islande, territoire unique aux frontières maritimes et volcaniques, offre un contraste saisissant entre la majesté de la nature brute et un sentiment de solitude, presque de début ou de fin du monde. Ici, les paysages sont empreints de mémoire, de récits invisibles mais tangibles, qui s’inscrivent dans un processus d’itinérance. À travers l’argentique, un médium qui offre une profondeur intemporelle, je cherche à capturer cette dualité entre la nature indomptée et l’humain, son passage, ses empreintes effacées.

L'argentique comme ancrage dans le temps


La photographie argentique, ici capturée à travers des formats variés tels que le Mamiya 645 ou le Voigtländer de 1930, vient renforcer cette idée de mémoire, en offrant une texture visuelle qui s’accorde avec le caractère indompté de l’Islande. Le grain de la pellicule, ses nuances subtiles et sa lenteur de traitement, font écho au temps qui passe. Chaque image devient une résonance, un hommage à la fois au lieu et à l’histoire qui s’y est inscrite, tout en questionnant ce qui reste de cette mémoire lorsque les traces humaines disparaissent.

Un voyage intérieur et extérieur


La série « Nos mémoires insulaires » s’inscrit ainsi dans une démarche plus vaste qui interroge le rôle du paysage comme témoin de notre époque, de nos mémoires collectives et individuelles. Dans ces territoires, l’isolement semble être une constante, non seulement en raison de la distance géographique, mais aussi de l’isolement psychologique. Le paysage devient alors le miroir de cette condition humaine partagée : une quête de sens, de repères, d’un passé qui nous échappe.

À travers ce travail, je cherche à saisir l’éphémère, ce qui survit et ce qui se dissout, dans un espace où l’humain semble avoir disparu mais dont l’histoire continue de résonner à travers les paysages.

Nos Mémoires Insulaires

Dans cette série, le paysage devient un terrain d’expérimentation, une toile vierge sur laquelle se dessinent les traces invisibles du passé et du présent. L’Islande, territoire unique aux frontières maritimes et volcaniques, offre un contraste saisissant entre la majesté de la nature brute et un sentiment de solitude, presque de début ou de fin du monde. Ici, les paysages sont empreints de mémoire, de récits invisibles mais tangibles, qui s’inscrivent dans un processus d’itinérance. À travers l’argentique, un médium qui offre une profondeur intemporelle, je cherche à capturer cette dualité entre la nature indomptée et l’humain, son passage, ses empreintes effacées.

L'argentique comme ancrage dans le temps


La photographie argentique, ici capturée à travers des formats variés tels que le Mamiya 645 ou le Voigtländer de 1930, vient renforcer cette idée de mémoire, en offrant une texture visuelle qui s’accorde avec le caractère indompté de l’Islande. Le grain de la pellicule, ses nuances subtiles et sa lenteur de traitement, font écho au temps qui passe. Chaque image devient une résonance, un hommage à la fois au lieu et à l’histoire qui s’y est inscrite, tout en questionnant ce qui reste de cette mémoire lorsque les traces humaines disparaissent.

Un voyage intérieur et extérieur


La série « Nos mémoires insulaires » s’inscrit ainsi dans une démarche plus vaste qui interroge le rôle du paysage comme témoin de notre époque, de nos mémoires collectives et individuelles. Dans ces territoires, l’isolement semble être une constante, non seulement en raison de la distance géographique, mais aussi de l’isolement psychologique. Le paysage devient alors le miroir de cette condition humaine partagée : une quête de sens, de repères, d’un passé qui nous échappe.

À travers ce travail, je cherche à saisir l’éphémère, ce qui survit et ce qui se dissout, dans un espace où l’humain semble avoir disparu mais dont l’histoire continue de résonner à travers les paysages.

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